Nauczycielka dając nam tekst nie wzięła pod uwagę że go nie rozumiemy... pomocy...
« Mais tu comprends vraiment rien ! » a répondu Julie. Elle a empoigné son portable, pris son sac, et elle est partie. Elle a descendu l'escalier quatre à quatre. Dans la rue, elle a eu de la chance: elle a trouvé un taxi tout de suite.
Partir, vite. Angoisse. Où aller ? Non, pas chez elle ! Elle ne veut pas rester seule. Tout s'est bousculé dans sa tête. « Alors, je vous emmène ou? - Euh, rue Bouchardon. » Isabelle a toujours ete la pour les coups durs. « Allo, Isabelle, c'est Julie. Ah, heureusement, tu es chez toi. Je peux passer? Oui. Non, ça va pas. Non, je t'explique ça tout à l'heure. »
Julie a réussi à tenir jusqu'à son arrivée chez Isabelle. Mais quand Isabelle a ouvert la porte, elle s'est effondrée. Elle est tombée dans les bras de son amie et s'est mise à pleurer.
Elles sont entrées et ont discuté pendant deux heures de François, de Julie, de Paris, d’Isabelle, des autres, de François et Julie, d'avant, d'a-près... Le téléphone a sonné.
« Oui, allo. Julie? Non, elle n'est pas là. Tu as essayé chez Valérie? Non, je te dis qu'elle n'est pas la, tu ne me fais pas confiance? Je ne sais pas. Oui, bien sûr. Oui, oui, d'accord. »
Le lendemain, vendredi, Julie n'est pas allée travailler. Puis, il y a eu le week-end.
François est venu chez Isabelle, en terrain neutre, ou presque, le dimanche soir. L’accueil a été glacial et les discussions difficiles. Aucun accord n'a été trouve.
Julie a quitté Paris un mois plus tard pour s'installer à Marseille et commencer une nouvelle vie.
Pendant ses vacances, François est allé à Nice. Il est, bien sûr, passé par Marseille.