Najpierw podam może fragment tekstu, do którego mam napisać streszczenie:
Honore de Balzac- Le colonel Chabert
« Colonel, votre affaire est excessivement compliquée, lui dit Derville en sortant de la chambre pour s'aller promener au soleil le long de la maison.
-- Elle me paraît, dit le soldat, parfaitement simple. L'on m'a cru mort, me voilà ! Rendez- moi ma femme et ma fortune ; donnez-moi le grade de général auquel j'ai droit, car j'ai passé colonel dans la garde impériale, la veille de la bataille d'Eylau.
-- Les choses ne vont pas ainsi dans le monde judiciaire, reprit Derville. Écoutez-moi. Vous êtes le comte Chabert, je le veux bien, mais il s'agit de le prouver judiciairement à des gens qui vont avoir intérêt à nier votre existence. Ainsi, vos actes seront discutés. Cette discussion entamera dix ou douze questions préliminaires. Toutes iront contradictoirement jusqu'à la cour suprême, et constitueront autant de procès coûteux, qui trameront en longueur, quelle que soit l'activité que j'y mette. Vos adversaires demanderont une enquête à laquelle nous ne pourrons pas nous refuser, et qui nécessitera peut-être une commission rogatoire en Prusse. Mais supposons tout au mieux : admettons qu'il soit reconnu promptement par la justice que vous êtes le colonel Chabert. Savons-nous comment sera jugée la question soulevée par la bigamie fort innocente de la comtesse Ferraud? Dans votre cause, le point de droit est en dehors du code, et ne peut être jugé par les juges que suivant les lois de la conscience, comme fait le jury dans les questions délicates que présentent les bizarreries sociales de quelques procès criminels. Or, vous n'avez pas eu d'enfants de votre mariage, et M. le comte Ferraud en a deux du sien, les juges peuvent déclarer nul le mariage où se rencontrent les liens les plus faibles, au profit du mariage qui en comporte de plus forts, du moment où il y a eu bonne foi chez les contractants. Serez-vous dans une position morale bien belle, en voulant mordicus avoir à votre age et dans les circonstances où vous vous trouvez une femme qui ne vous aime plus ? Vous aurez contre vous votre femme et son mari, deux personnes puissantes qui pourront influencer les tribunaux. Le procès a donc des éléments de durée. Vous aurez le temps de vieillir dans les chagrins les plus cuisants.
-- Et ma fortune ?
-- Vous vous croyez donc une grande fortune ?
-- N'avais-je pas trente mille livres de rente ?
-- Mon cher colonel, vous aviez fait, en 1799, avant votre mariage, un testament qui léguait le quart de vos biens aux hospices.
-- C'est vrai.
-- Eh bien, vous censé mort, n'a-t-il pas fallu procéder à un inventaire, à une liquidation afin de donner ce quart aux hospices ? Votre femme ne s'est pas fait scrupule de tromper les pauvres. L'inventaire, où sans doute elle s'est bien gardée de mentionner l'argent comptant, les pierreries, où elle aura produit peu d'argenterie, et où le mobilier a été estimé à deux tiers au-dessous du prix réel, soit pour la favoriser, soit pour payer moins de droits au fisc, et aussi parce que les commissaires-priseurs sont responsables de leurs estimations, l'inventaire ainsi fait a établi six cent mille francs de valeurs. Pour sa part, votre e veuve avait droit à la moitié. Tout a été vendu, racheté par elle, elle a bénéficié sur tout, et les hospices ont eu leurs soixante-quinze mille francs. Puis, comme le fisc héritait de vous, attendu que vous n'aviez pas fait mention de votre femme dans votre testament, l'Empereur a rendu par un décret à votre veuve la portion qui revenait au domaine public. Maintenant, à quoi avez-vous droit ? à trois cent mille francs seulement, moins les frais.
-- Et vous appelez cela la justice ? dit le colonel ébahi.
Prosiłabym o sprawdzenie tej dłuższej wersji streszczenia.
Le Colonel Chabert parle avec l'avoué Derville. Tout le monde a cru qu'il était mort, mais il veut réclamer sa fortune, ses droits, sa femme et son titre (de général). Le juriste dit que son cas est très difficile, parce qu'il y a beaucoup de gens hostiles à son égard. Selon lui, l'affaire du Colonel à la Cour Suprême va durer très longtemps ou ne sera pas pris en compte. Ses adversaires exigeront une enquête qui requèrira un document dans lequel un juge dirigeant/principal (w sensie sędzia prowadzący- najwyższy) nomme un autre juge pour poursuivre un procès. Chabert aura aussi le problème avec reconquérir sa femme, car elle - durant son absence- s'est remariée avec le comte Ferraud et ils ont 2 enfants. Le tribunal prend toujours en compte le plus fort argument, alors un officier napoléonien doit réfléchir sur le sens de cette bataille judiciaire.
Néanmoins, le Colonel est inquiet s'il pouvait recouvrer ses biens. Pour cette raison, l'avocat lui rappelle que le quart de sa fortune ile a transmit aux institutions charitables. Il ajoute que sa femme n'avait aucun scrupule à tricher les pauvres, juste pour payer moins d'impôts et être favorisée. En outre, elle avait le droit à la moitié des biens. Tout a été vendu et racheté par elle. Les organisations charitable ont gagné 64.000 francs. Malgré le fait que tous a été confisqués par le fisc, l'Empereur par son décret revenait tout au domaine public. Malheureusement, Chabert a le droit seulement de 300 mille francs, sauf les frais.
Oprócz tego mam napisać streszczenie całej powieści, a na internecie jest tego bardzo mało.. Mógłby ktoś - kto czytał całość- tak mniej więcej napisać o co chodziło w całym utworze?