Wiem, że powinienem był ten wątek wstawić do katalogu ''Brak wkładu własnego'', ale wiem, że nie uzyskałbym szybkiej odpowiedzi, także przepraszam i jednocześnie proszę o pomoc w przetłumaczeniu na j.polski tego tesktu. Z góry dziękuję.
La comparaison de l'original de Ferdydurke avec ses deux traductions italiennes (publiéèes l'une en 1961 et l'autre en 1991), qui fait l'objet de l'article, est centrée sur l'image de l'école, élément essentiel de l'univers représenté. La traduction de Sergio Miniussi pèche par les omissions héritées d'une traduction francaise incomplete, bien que créée avec une participation de Gombrowicz, tandis que celle de Vera Verdiani, plus récente, s'amplifie d'un grand nombre de notes de la traductrice avec des explications concernant les nombreux noms d'auteurs et d'autres personnages historiques polonais évoqués dans le texte. La deuxième traduction est souvent plus fidèle en ce qui concerne le lexique relatif à l'école et, plus généralement, à la culture polonaise, mai les deux versions italiennes semblent dépourvues de moyens face à certains traits caractéristique du style de Gombrowicz tels que le fréquent recours au solécisme ou à l'ordre des mots insolite, ce qui est une perte considérable dans le cas d'une oeuvre qui insiste sur l'importance de la Forme.