Et voila comment on commence la progresion vers le pôle sud, dans ce nul part Mihael
m’ attend pour y se retrouver avec Prince Albert.
Et puis, de voir un avion après presque 42 jours de solitude sur la glace et puis de voir Prince Albert dans l’avion et puis d’approcher du pôle avec lui, pour moi c’est un moment qu’on peut pas oublier de notre vie, plein d’emotions et puis am certainement un de meilleur moment de cet expedition dans antarctique.
Au programme de l’équipe deux biwaques, deux jours de marche à travers une immense étang du blanche blanche, desert froide pour couvrir la trentaine de kilomètres qui sépare du pôle. Une progression rendue difficile par l’altitude et réfaction de l’oxygène, l’effort... , maux de tête et fatigue frappe les un et les autres.
Nul personne ne lâche, sutrout quand le leader du groupe vient d’avaler seul quarante et un jour dans ces conditions et puis la récompense n’est plus très loin le pôle sud pour Orne, le Prince Albert, Clemence et Nicolas du premier port gaillard et leur guide Borgeusland.
C’est un moment assez fort qu’on touche vraiment cet endoit tout à fait particulier et tout à fait spécial.